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Hall 1

L’Eléphant pour tirer le premier train
 

L’Eléphant fait partie, avec La Flèche et le Stephenson, de la première commande de matériel ferroviaire de l’Etat belge à l’Anglais George Stephenson, créateur du chemin de fer moderne. Le 5 mai 1835, ces trois locomotives à vapeur tirent les trains de voyageurs qui roulent pour la première fois en Belgique, entre Bruxelles et Malines. Au retour, la puissance de L’Eléphant lui permettra de tirer, à elle seule, les voitures des trois convois. A partir de 1839, L’Eléphant sera surtout utilisé en tête des trains de marchandises. Elle poursuivra sa carrière jusqu’en 1865.

 

Sculpteur: Peter Teerlinck

 

Le centre du réseau

 

Le 5 mai 1835 est inaugurée en grandes pompes la première ligne de chemin de fer du continent européen qui va relier Bruxelles à Malines. En vue de commémorer cet événement historique, une colonne milliaire formant alors le point central du réseau est érigée à Malines, au milieu de la « station ». Ce monument est constitué d’une colonne de pierre de sept mètres de haut, surmontée d'une sphère, elle-même coiffée d’une pointe de cuivre. C’était de ce point central qu’était mesurée la longueur des lignes du réseau ferroviaire et c’est de là aussi que partaient les poteaux kilométriques placés le long de chaque ligne, de 500 m en 500 m.
Au fil des ans, la borne déménage à plusieurs reprises. En mai 1980, la borne milliaire fait l’objet d’une remise en état complète. Au terme de cette restauration, elle est installée sur la place située en face de la gare de Malines. La fin d’un parcours bien mouvementé !

 

 

Sculpteur: Peter Teerlinck

 

 

La tête de l'emploi

 

Cette sculpture représente un personnage clé de l’ère de la vapeur : le machiniste de la locomotive. Ce cheminot, au visage noir, dont l’attirail était caractérisé par la casquette de service et les lunettes rondes de sécurité, était celui qui conduisait le train. Son rôle principal était d’amener le convoi à destination, en surveillant tous les signaux présents sur le trajet. Sur sa plate-forme ouverte, le machiniste était accompagné d’un chauffeur qui alimentait en charbon et en eau la chaudière de la locomotive. Grâce à eux deux, ils trainaient derrière eux cinq à six cents voyageurs ou douze cents tonnes de marchandises, et étaient les seuls à pouvoir apprivoiser le monstre qu’était la locomotive à vapeur.

 

Sculpteur : Bart Steegmans

 

 

La Persistance de la Mémoire


Le tableau de Salvador Dalí, intitulé La Persistance de la Mémoire a inspiré la création de ces horloges en chocolat. Dalí a peint cette toile après avoir observé un morceau de camembert après un repas avec des amis. Tout comme les horloges molles de Dalí, celles qui ont été créées en chocolat pour cette exposition, sont ramollies et fondent sous nos yeux.
Dalí s’intéressait de près à la théorie de la relativité développée par Einstein. Les horloges molles ou fondantes remettent en question la vision simple et unilatérale du concept de temps.
 

Sculpteur: Peter Teerlinck


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